Pourquoi les hommes éprouvent-ils le besoin de commémorer leur passé ? Comment se fait-il qu'en dépit du temps je demeure le même ? La connaissance de l'inconscient apporte-t-elle quelque chose d'essentiel à la connaissance de l'homme ? Peut-on dire que les progrès de la connaissance scientifique approfondissent notre ignorance ? La logique nous apprend-elle quelque chose ? Sommes-nous libres d'avoir notre propre conception de la liberté ? L'apparence n'a-t-elle rien à nous apprendre ? L'oubli n'est-il qu'une défaillance de la mémoire? Un savoir sur l'homme peut-il être séparé d'un pouvoir sur les hommes ? Bon, ok, pour l'avion de chasse, je n'en sais rien. Dans quelle mesure peut-on affirmer que la conscience n'est pas un donné mais une tâche ? La foi religieuse exclut-elle tout recours à la raison ? Avoir le droit pour soi, est-ce être juste ? J'aimerai avoir un peu d'aide s'il vous plait. L'accord avec autrui au niveau du discours est-il un critère suffisant de vérité ? La connaissance scientifique n'est-elle qu'une croyance argumentée ? L'indiscutable est-il la négation ou le fondement de l'exercice de la raison ? L'expérience joue-t-elle le même rôle dans les sciences et dans la conduite de la vie ? L'imagination est-elle la cause de notre malheur ? En quel sens les échanges économiques sont-ils des faits de communication ? Sur quoi peut se fonder la conviction d'avoir raison ? La raison peut-elle reconnaître sens et valeur à la folie ? La raison humaine est-elle, par nature, conduite à supposer dans le monde plus d'ordre qu'elle n'en trouve ? En quel sens un jugement peut-il être dit nécessaire ? En quoi les oeuvres d'art diffèrent-elles des objets techniques ? Rien de plus rien de moins, mais évidement pour s'épanouir, ils faut beaucoup de choses, mais certain vous dirons que l'amour et la santé suffise. La recherche de la vérité peut-elle devenir une passion ? La passion de la vérité peut-elle être source d'erreur ? La liberté de penser consiste-t-elle à penser n'importe quoi ? Pouvons-nous être sûrs d'avoir compris autrui ? Une vie réussie câest aussi rompre avec la chaîne du mal et ne pas transmettre cela à nos enfants. Je connaissais pas ce mot, j'ai donc regardé sa signification. L'intérêt peut-il être une valeur morale ? La féminité est-elle un artifice de la culture ou une différenciation naturelle ? La passion nous éloigne-t-elle de la réalité ? La conviction d'avoir raison fait--elle obstacle au dialogue ? Qu'est-ce qui fait l'unité d'une science ? Pouvons-nous juger la responsabilité des autres ? A quoi reconnaître qu'une science est une science ? La recherche de l'autonomie individuelle est-elle incompatible avec l'existence de l'État ? Est-il contradictoire de reconnaître des différences et de désirer l'égalité entre les individus ? L'objectivité est-elle le privilège du discours scientifique ? Une société juste peut-elle s'accomoder d'inégalités ? J'ai légèrement extrapolé, pardon si ce n'est pas ta pensée. Les mathématiques sont-elles une science comme les autres ? L'histoire : ce qui arrive à l'homme ou ce qui arrive par l'homme ? Est-ce par son travail que l'homme prend conscience qu'il a une histoire ? Nous avons été enfants avant que d'être hommes
» : Quelles conséquences ? Quelle est la fonction première de l'Etat ? Est-ce par opposition au social que se définit l'individuel ? L'idée de pauvreté se réduit-elle à une catégorie économique ? Faut-il, pour le connaître, faire du vivant un objet ? La guerre contre les préjugés a-t-elle une fin ? L'ancien et le nouveau sont-ils en opposition ? Qu'est-ce qui fait l'identité de chacun d'entre nous? Peut-on juger une action sur sa seule efficacité ? Que nous apprennent les beautés de la nature sur la nature même de la beauté ? Qu'est-ce qui distingue une oeuvre d'art d'un objet quelconque ? Comment expliquez-vous le désir de « remonter aux origines » ? Quels problèmes philosophiques la notion de choix soulève-t-elle ? Le travail est-il plus formateur que les loisirs ? La science peut-elle se passer de métaphysique ? En quel sens l'artiste peut-il être considéré comme un témoin de son temps ? Définissez-vous comme Lucien Febvre le travail de l'historien : « Il part du présent et c'est à travers lui toujours qu'il connaît, interprète le passé ? » Qu'en pensez-vous ? Peut-on admettre l'idée d'un droit à la révolte ? Réussir dans la vie et réussir sa vie, est-ce la même chose ? Sommes-nous responsables de ce que nous sommes ? Est-il vrai que l'ignorance de notre histoire nous condamne à la revivre ? Peut-on dire que la société constitue une entrave à l'épanouissement de l'individu ? En quoi le dialogue favorise-t-il la recherche de la vérité ? La morale peut-elle résister au dévoilement de ses origines ? Faut-il dire que la société dénature l'homme ou qu'elle l'humanise ? L'art peut-il se passer de la référence au beau ? Y a-t-il une illusion propre à la conscience ? Comment sait-on que quelqu'un est conscient de ce qu'il fait ? Sommes-nous libres lorsque rien, en nous ni hors de nous, n'oriente notre choix ? La philosophie est-elle une occupation sérieuse ? Faut-il se désintéresser de l'irrationnel ? La passion est-elle toujours un esclavage ? Arthur Schopenhauer. Doit-on souhaiter la dictature de la raison ? L'existence de la logique dément-elle la liberté de l'esprit ? Faudrait-il renoncer à toute passion pour être libre ? Peut-on discerner dans les changements du droit un progrès vers la justice ? Pourquoi l'union du droit et de la force dans l'Etat est-elle un problème ? La singularité Faut-il opposer la vie à la culture ? Peut-on tenir pour vrai tout ce qui se présente comme évident ? Le raisonnement mathématique est-il seulement un raisonnement logique ? Si le droit est relatif aux temps et aux lieux, faut-il renoncer à l'idée d'une justice universelle ? L'hypothèse de l'inconscient contredit-elle l'exigence morale ? A quelles conditions et dans quelle mesure la connaissance du futur est-elle possible ? Le temps n'est-il qu'une succession d'instants ? Pourquoi peut-on critiquer une morale établie ? La philosophie est-elle la tentative pour penser aussi loin que possible ? L'historien peut-il se passer d'une philosophie ? Avons-nous des devoirs envers nous-mêmes ? Autrui peut-il être pour moi autre chose qu'un obstacle ou un moyen ? Faut-il considérer l'homme de science comme responsable de l'usage que l'on fait de ses découvertes ? Peut-on sans contradiction désirer ne pas avoir de désirs ? Peut-on concevoir que le travail ne soit pas une nécessité ? L'ambiguité des mots peut-elle être heureuse ? « Revenons à l'ancien, ce sera un progrès ». Peut-on dire que la science fait surgir de nouveaux problèmes philosophiques ? Quel sens de la vie l'étude scientifique du vivant peut-elle exprimer ? Pourquoi parle-t-on de moins en moins de savants, et de plus en plus de chercheurs ? L'activité technique vous paraît-elle être la caractéristique essentielle de l'homme ? L'idée que nous avons de Dieu n'est-elle qu'une représentation de nous-mêmes ? Du fait que nous vivons le présent, sommes-nous mieux à même de le comprendre ? La vie en société n'a-t-elle pour fondement que la complémentarité des besoins ? Il n'est même pas passé. L'oeuvre d'art peut-elle nous instruire ? Admettre l'existence de l'inconscient est-ce rendre vain tout effort de lucidité à l'égard de soi-même ? Qu'est-ce que le réel pour un esprit scientifique ? Quelle valeur conférer à l'opinion vraie ? Peut-on exiger d'un artiste un autre engagement que celui de produire des oeuvres d'art ? Comment une connaissance mathématique de ce qui est objet d'expérience est-elle possible ? Que signifie pour le savant la notion d'imprévisible ? Se sentir obligé, est-ce renoncer à sa liberté ? Est-il essentiel à la philosophie d'être systématique ? Faut-il ne tenit pour vrai que ce qui peut être prouvé ? Peut-on dire quel est le propre de l'homme ? Un peuple sans mémore peut-il être libre? Peut-il être légitime de s'opposer à la loi ? Pourquoi le passé suscite-t-il encore des passions ? La pensée est-elle une activité assimilable à un travail ? La moralité consiste-t-elle à se contraindre soi-même ? Pourquoi l'homme transforme-t-il la nature ? Le progrès scientifique est-il lié à l'évolution des techniques ? Dans quelle mesure les musées nous aident-ils à comprendre l'histoire ? Les mathématiques sont-elles un instrument, un langage ou un modèle pour les autres sciences ? Le droit ne fait-il que traduire un rapport de forces ? La science peut-elle tenir lieu de philosophie ? A la question : « Qu'est-ce qu'être normal ?, Freud répondait : « Aimer et travailler. Peut-on dire des vérités scientifiques qu'elles sont provisoires ? Peut-on se prononcer avec objectivité sur la valeur d'une oeuvre d'art ? Les succès de la science impliquent-ils la réfutation définitive du scepticisme ? A quelles conditions est-il possible de dialoguer ? — aux autres hommes qui passeraient par là, je suis désolée pour le sexisme de ma remarque ; j'essaie de m'adapter au niveau de mon interlocuteur. L'obligation morale est-elle entièrement expliquée par la pression de la société sur l'individu ? Suffit-il de dire la vérité pour convaincre ? Le Beau s'impose-t-il à notre jugement ou en résulte-t-il ? Le progrès technique entraîne-t-il une dévalorisation du travail humain ? Le beau n'est-il que l'objet d'une perception ? La nécessité de produire s'oppose-t-elle nécessairement au désir de créer ? La copie d'une belle oeuvre d'art peut-elle être une belle oeuvre d'art ? Quelle place la réflexion sur le vivant peut-elle accorder au hasard ? Une religion peut-elle avoir la même fonction que la philosophie. Les oeuvres d'art nous enseignent-elles quelque chose ? Qu'en pensez-vous ? Est-il souhaitable que la raison mène le monde ? L'ignorance est-elle la seule raison d'être de nos croyances ? La perception ne nous permet-elle d'atteindre que des apparences ? La vérité est-elle un droit ou un devoir ? Quelle sorte de réalité peut avoir l'univers avant l'apparition ou après la disparition de l'homme ? Qu'est-ce qui fait la vérité d'une idée scientifique ? Une majorité exprime-t-elle une force ou un droit ? L'irrésolution est-elle le pire des maux ? Le châtiment peut-il ne rien devoir au désir de se venger ? Le hasard peut-il bien faire les choses ? Les oeuvres d'art ne sont-elles pas d'autant plus admirées qu'elles sont inutiles ? L'homme est sujet connaissant. Peut-on reprocher à l'art d'être inutile ? Quelle est l'importance de l'histoire pour la connaissance de l'homme ? L'histoire de la philosophie est-elle une discipline historique ? Quelle peut être aujourd'hui la valeur philosophique de l'idée de progrès ? Croire, est-ce renoncer à faire usage de sa raison ? Les mondes imaginaires sont-ils des refuges ? Le bonheur dépend-il du régime politique sous lequel on vit ? La compétence technique peut-elle fonder l'autorité politique ? L'obligation morale peut-elle se réduire à l'obligation sociale ? Quelle conception de l'homme l'hypothèse de l'inconscient remet-elle en cause? Sommes-nous réduits à subir le pouvoir d'une langue ? Le progrès technique suscite-t-il de nouvelles questions philosophiques ? Le réel se réduit-il à ce que l'on perçoit ? La pensée de la mort importe-t-elle à la vie ? Que faut-il entendre par « être conscient » ? Y a-t-il un sens à parler, chez l'homme, de comportement inhumain ? Qu'y a-t-il à reprocher à la bonne conscience ? Est-ce au peuple qu'il appartient de faire les lois ? La liberté est-elle une donnée de la nature ou une conquête de l'esprit ? En quel sens peut-on dire que l'homme est un « animal politique » ? Quelle différence y a-t-il entre une vérité mathématique et une vérité expérimentale ? You can post now and register later. Est-il juste de dire que seul le présent existe ? La science se propose-t-elle essentiellement de prévoir ? La notion de nature est-elle une notion claire ? ». On a dit : « Par l'enfance nous comprenons que nous sommes tous mal partis et qu'il ne peut en être autrement. Existe-t-il une morale indépendante de toute situation historique ? Est-on fondé à affirmer l'existence d'une conscience collective ? Peut-on légitimement parler de la neutralité de la technique ? L'interrogation métaphysique est-elle d'actualité ? Etre libre, est-ce la même chose qu'être indépendant ? La politique n'est-elle que l'art de capter à son profit les passions des autres ? Peut-il y avoir une science de l'inconscient ? Peut-on dire d'une conduite humaine qu'elle est insensée ? La connaissance de la vie d'un philosophe est-elle utile à la compréhension de sa philosophie ? Discuter cette réflexion d'un philosophe : « Il n'est pas bon d'être trop libre. La liberté de penser peut-elle se passer de la liberté d'expression ? Toutes les inégalités sont-elles des injustices ? Définir la logique comme l'art de penser, est-ce appauvrir la pensée ? Le travail est-il une nécessité ou un devoir ? Peut-on renoncer librement à la liberté ? Peut-on faire l'économie du concept de volonté ? La conscience me fait-elle connaître que je suis libre ? La pensée antique nous a légué une magnifique boîte à outils afin de réfléchir à une série de questions dont celle-ci. Un philosophe est-il nécessairement un homme de son temps ? les prescriptions morales ne sont-elles, par nature, que des interdictions ? Le loisir est-il le but véritable du travail ? L'histoire enregistre-t-elle des faits ou recherche-t-elle des lois ? L'ennui est-il caractéristique de l'être humain, ou de certaines époques de l'histoire ? Sommes-nous nécessairement les victimes du temps? La philosophie recherche-t-elle la vérité ou le sens ? La satisfaction des besoins économiques est-elle un obstacle à la défense des valeurs morales ? Peut-il exister une morale sans obligation ni sanction ? une vie qui nous laisse un sentiment d'achevé, une vie où nos actes ont été en accord avec nos valeurs, où l'on ne s'est pas trahi et je dirais un peu naïvement où l'on a servi à quelque chose. Cette émission, intitulée Qu'est-ce qu'une vie réussie?, est basée sur la séance du café philosophique de Montargis du 28 juin 2013 La richesse est comme l'eau de mer. Du fait que nous vivons le présent, sommes-nous plus à même de le comprendre ? « La science physique a trouvé dans les mathématiques un langage qui se détache sans difficulté de sa base expérimentale et qui, pour ainsi dire, pense tout seul. L'Etat n'impose-t-il l'obéissance que par la force matérielle ? Le recours à des techniques scientifiques suffit-il à donner un caractère vraiment scientifique aux sciences de l'homme ? La beauté est-elle une promesse de bonheur ? Un homme privé de ses droits de citoyen est-il encore un homme libre ? Peut-on reconnaître un droit de révolte contre l'Etat ? Faut-il renoncer à parler de la science au singulier ? Peut-on faire la guerre au nom des droits de l'homme ? Faut-il souhaiter que la politique soit une science ? Le mot vérité a-t-il un sens au singulier ou au pluriel ? Les relations entre les Etats peuvent-elles être autre chose que l'expression de rapports de force ? Est-ce le recours à l'expérience qui garantit le caractère scientifique d'une théorie ? Le déroulement de l'histoire manifeste-t-il un progrès de l'humanité ? Etre citoyen, est-ce un droit ou un devoir ? Peut-on concevoir une humanité sans art ? Peut-on avoir des exigences à l'égard d'autrui? La pluralité des cultures est-elle un obstacle à l'unité du genre humain ? L'expérience dans la vie a-t-elle les mêmes caractères et le même rôle que dans les sciences ? Peut-on dire qu'il existe une logique des événements historiques ? Votre lien a été automatiquement intégré. La raison est-elle génératrice de violence ? La réflexion sur l'homme est-elle toute la philosophie ? Le désir humain peut-il prendre la forme d'un désir d'éternité ? Longtemps, dans la réflexion sur la justice a prévalu le principe : « toute autorité vient de Dieu ». Explication par la genèse et explication par la structure. Comment concevoir les rapports entre les échanges économiques et l'ensemble de la vie sociale ? Faut-il aimer la certitude pour rechercher la vérité ?