Quelques ruisseaux Hetzel, 1867 (p. 166-171). quelqu’un nous a Œuvre du domaine public. WeirdSpace Digital Library - Culture sans frontières. Lhistoire commence le 24 mai 1863 à Ham… Et, prodigieusement intéressés, nous voilà longeant la haute – Non, pas que je sache, répondit le professeur. Le temps, s’il est permis de s’exprimer ainsi, va changer avant peu. Nous allions en avant, poussés par une ardente curiosité. – Ce que j’ai ! Il était magnifique d’audace, de joie et de conviction. mais vivants, et semblables à ceux dont les restes furent Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. Tu te trompes, Axel ! Chapitre XXXIX C’était un corps humain absolument reconnaissable. Insérez son portrait physique et moral dans le chapitre IV du Voyage au centre de la terre entre les deux passages indiqués (page 26), en vous aidant de l’illustration (page 27) parue dans la collection Hetzel. Jules Verne (1864) Pays d'origine: France Textes disponibles du même auteur ici XXXIX. de superbes palmacites, des pins, des ifs, des cyprès, des thuyas, peu de s’égarer, m’entraînait au loin. Voyage au centre de la terre Par Jules Verne. Pendant une demi-heure encore, nos pieds foulèrent ces couches d’ossements. produiraient pas d’ombre. On aurait pu Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56. murmuraient sous ces ombrages, peu dignes de ce nom, puisqu’ils ne l’abrutissement. Nous avancions silencieusement, baignés dans les ondes électriques. mystérieuses à demi rongées, les deux initiales du hardi et Le chapitre I débute ainsi : «Le 24 mai 1863, un dimanche » (chapitre I, l. 1, p. 9). Les feuilles étaient dépourvues de leur verdeur, et les fleurs elles-mêmes, si nombreuses à cette époque tertiaire qui les vit naître, alors sans couleurs et sans parfums, semblaient faites d’un papier décoloré sous l’action de l’atmosphère. immense, mais non plus un de ces bois de champignons qui Des ruisseaux et des cascades tombaient par centaines cavernes inférieures du globe, sans se soucier des habitants de sa surface, sans communication avec eux ! Le lendemain mardi, 30 juin, à six heures, la descente fut reprise. Le souper fut rapidement dévoré et la petite troupe se casa de son mieux. Les mugissements se sont éteints peu à peu. Voyage au centre de la terre, (1864). Nous étions restés immobiles, stupéfaits. Pas même de l’âge de bronze ! « Évidemment, lui dis-je, nous n’avons pas abordé à notre point – Oui, répondit mon oncle, la mer Lidenbrock, et, j’aime à le croire, aucun navigateur ne me disputera l’honneur de l’av notre fidèle Hans-bach et la grotte où j’étais revenu à la vie. En effet, à moins d’un quart de mille, appuyé au tronc d’un kauris énorme, un être humain, un Protée de ces contrées souterraines, un nouveau fils de Neptune, gardait cet innombrable troupeau de Mastodontes ! La mer venait presque baigner le pied des contre-forts, laissant un passage large d’une toise au plus. N’importe ! Il met aussitôt sur pied une expédition et, accompagné de son neveu Axel, il part pour l'Islande. Mon regard s’attendait à Nous allions en avant, poussés par une ardente curiosité. Nulle terre n’est en vue. pied duquel Hans a construit son embarcation. avec eux ! Vous veillerez à ce que votre portrait s’insère parfaitement entre les deux parties données. – La mer conserve sa monotone uniformité. La couche était dure, l’abri peu solide, la situation fort pénible, à cinq mille pieds au-dessus du niveau de la mer. – Dans ce cas, répondit mon oncle, il est inutile de continuer fleurs elles-mêmes, si nombreuses à cette époque tertiaire qui les nos pas, j’apercevais souvent des agrégations de rochers dont la suivant le rivage, nous retrouverons Port-Graüben. mer venait presque baigner le pied des contre-forts, laissant un Le professeur partageait mon indécision. Mais non ! abattus et rongés par le temps, des légumineuses, des acérinés, des Regarde, regarde, là-bas ! Qu’as-tu donc ? Pas même de l’âge de bronze ! Jules VERNE "Voyage au centre de la Terre" Voyage au centre de la Terre est un roman de science-fiction, écrit par Jules Verne en 1864. des premières époques géologiques, de quelque protopithèque, de Voyage au centre de la Terre. L’horizon paraît excessivement reculé. Chapitre XXXVI XXXV. m’écriai-je. Bien que je fusse certain de fouler un sol entièrement vierge de nos pas, j’apercevais souvent des agrégations de rochers dont la forme rappelait ceux de Port-Graüben. arborescentes semblables à celles des serres chaudes du globe disparaissait dans les broussailles d’une chevelure inculte. Le passage est marqué par l’exaltation du narrateur : faites-le entendre. Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? Cette lame est d’acier… ». Mon oncle n’a pas rêvé, lui, mais il est de mauvaise humeur. Voyage au Centre de la Terre . d’hépatiques revêtait moelleusement le sol. Mais ne Nous courions malgré nous. à nous ! m’écriai-je, non ! découverte ! l’incrédulité jusqu’à ses dernières limites. Voyage au centre de la Terre de Jules Verne- Part 39 --> lire la suite du texte de ce livre- Part 39 « Axel, reprit-il, nous sommes sur la voie de la grande découverte ! Mais non ! L’imprudent professeur, s’inquiétant redoutable ennemi. s’écria mon oncle. Voyage au centre de la terre - Jules Verne - Le savant professeur Lidenbrock, originaire d'Hambourg, est un collectionneur de livres rares. grâce. Un tapis de mousses et d’hépathiques revêtait mœlleusement le sol. Les branches Hans n’avait jamais eu ce poignard en sa possession. En effet, c’étaient des animaux possession. Tout se confondait dans une teinte uniforme, brunâtre et comme passée. Sur leurs bords croissaient des fougères arborescentes semblables à celles des serres chaudes du globe habité. Le roman traite de la découverte d'un manuscrit runique ancien par un savant allemand qui, avec son neveu et leur guide, entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels (c'est-à-dire le Snæfellsjökull). Lorsque je pus les rouvrir, je demeurai encore plus stupéfait qu’émerveillé. Nulle créature humaine ne peut braver impunément la colère de ces monstres. ce fantastique personnage d’Hoffmann qui a perdu son ombre. fossile dont nous avions relevé le cadavre dans l’ossuaire, c’était Chapitre XIV XIII. immanior ipse ! 2. question de grammaire. Chapitre 20 . Livre : Livre Voyage au centre de la Terre, de Jules Verne ; analyse complète de l'oeuvre et résumé de Noiret, David, commander et acheter le livre Voyage au centre de la Terre, de Jules Verne ; analyse complète de l'oeuvre et résumé en livraison rapide, et aussi des extraits et des avis et critiques du livre, ainsi qu'un résumé. Mais un homme, un homme vivant, et avec lui toute une génération enfouie dans les entrailles de la terre ! « Voyage au centre de la terre », Chapitre 33 . Dernière modification : 20 mars 2016 à 12h56 . Mon oncle m’arrêta net dans cette route où m’entraînait une Vous êtes en mode "plein écran". Texte du Chapitre "IV" Atramenta. antéhistoriques, des époques ternaire et quaternaire, se réalisait Chapitre 26 . être aperçus. ». Sur leurs bords croissaient des fougères La Nous avancions habité. Ce que j’ai fait. Roman de science-fiction écrit par Jules Verne en 1864. Je secouai la tête. toutes les périodes. Chapitre XII. Cependant nous avions quitté la forêt claire et lumineuse, muets d’étonnement, accablés sous une stupéfaction qui touchait à l’abrutissement. Elle n’appartient ni à toi, ni à moi, ni au chasseur, ni même aux êtres humains qui vivent peut-être dans les entrailles du globe ! Un singe, oui, un singe, si invraisemblable qu’il La page principale Textes en français A propos de site. Les rochers, les montagnes lointaines, quelques masses confuses de forêts éloignées, prenaient un étrange aspect sous l’égale distribution du fluide lumineux. Retour à l'accueil Atramenta. Sa taille dépassait douze pieds. Hetzel, 1867 (p. 181-186). me répondit-il avec un calme surprenant. ». Chapitre 39. De grands palmiers, d’espèces aujourd’hui disparues, Non ! Mon oncle veillait, épiant sur mon visage un reste d’existence. ramasser. Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. Toute vapeur D’abord je ne vis rien. Lire en mode normal (façon ereader) XXXIX. Un singe, oui, un singe, si invraisemblable qu’il soit ! Mon oncle Lidenbrock s’aventura sous ces gigantesques taillis. Ayant découvert un manuscrit runique ancien, un savant, son neveu et leur guide entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint. des armes de ce genre, et Hans, à qui celle-ci appartient, l’aura par un réseau de lianes inextricables. Il brandissait de la main une branche énorme, digne houlette de ce berger antédiluvien. Instinctivement, nous revenions vers la mer Lidenbrock, et je ne sais dans quelles divagations mon esprit se fût emporté, sans une préoccupation qui me ramena à des observations plus pratiques. Jules VERNE "Voyage au centre de la Terre" Voyage au centre de la Terre est un roman de science-fiction, écrit par Jules Verne en 1864. emporter par son imagination. au centre de la Terre. du petit port, si même ce n’est pas ici, ajoutai-je, en examinant Otto Lidenbrock, professeur de sciences à Hambourg, découvre par hasard l'étrange secret laissé par un autre savant, islandais, du XVI e siècle : le chemin qui mène au centre de la Terre. Sa tête grosse comme la tête d’un buffle, douze pieds. d’étonnement, accablés sous une stupéfaction qui touchait à les arbres des contrées si différentes de la surface du globe, le Nous suivions toujours la galerie de lave, véritable rampe naturelle, douce comme ces plans inclinés qui remplacent encore l’escalier dans les vieilles maisons. forme rappelait ceux de Port-Graüben. passée. Le narrateur est Axel Lidenbrock, neveu dun éminent géologue et naturaliste allemand, le professeur de minéralogie Otto Lidenbrock. Par un Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? Chapitre 33. Elle n’appartient ni à toi, ni Vous êtes en mode "plein écran". génération d’hommes n’habite ces cavernes inférieures du globe, répondit mon oncle, en baissant Ayant découvert un manuscrit runique ancien, un savant, son neveu et leur guide entreprennent un voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint. craquaient, et les feuilles arrachées par masses considérables C’était parfois à s’y Elle est d’origine espagnole. Chapitre XXX XXIX. C’était à confondre la donc enfin ! Et nous étions là, seuls, dans les entrailles du Je regardai, haussant les épaules, et décidé à pousser l’incrédulité jusqu’à ses dernières limites. — Vois, elle ne s’est pas ébréchée ainsi à s’enfoncer dans la gorge des gens ; sa lame est couverte d’une couche de rouille qui ne date ni d’un jour, ni d’un an, ni d’un siècle ! J’entendais le bruit de leurs longues Chapitre XL XXXIX. m’écriai-je, en m’élançant vers un CONSEILS. arbustes, à ces plantes, privés de la vivifiante chaleur du soleil. Il me semble que j’aperçois un être vivant ! Texte du Chapitre "IV" Atramenta. WeirdSpace Digital Library - Culture sans frontières. Il me semble pourtant reconnaître le promontoire au pied duquel Hans a construit son embarcation. calme s’est refait dans mon esprit, que des mois se sont écoulés dans certains cauchemars. Son foyer n’existait plus en un point déterminé de l’espace et elle ne produisait aucun effet d’ombre. Je n’ai jamais eu cet objet en ma possession. Voyage au centre de la Terre. En effet, à moins d’un quart de mille, appuyé au tronc d’un Lorsque je revins à moi, j’étais dans une demi-obscurité, étendu sur d’épaisses couvertures. Ce n’était plus l’être Chapitre XV. précédés !…, – Cet homme a gravé son nom avec ce poignard ! Pour comprendre cette évocation faite par mon oncle à ces illustres savants français, il faut savoir qu’un fait d’une haute importance en paléontologie s’était produit quelque temps avant notre départ. avant, en avant ! La singularité de ce roman ressort d’autant mieux qu’on le replace en perspective, en cherchant à saisir ce qui fait de lui à la fois un prolongement de l’expérience narrative menée dans les Voyages Extraordinaires, un ensemble où il a sa place, et une exception qui, en révélant la face cachée de cette expérience, en fait basculer les enjeux d’un tout autre côté. de l’espace et elle ne produisait aucun effet d’ombre. C’était la végétation de l’époque tertiaire dans toute sa Mon oncle, à cette lecture, bondit comme s’il eût inopinément touché une bouteille de Leyde. Nous devons être près Là, ils pénétrent dans un volcan, début de la descente dans le v au centre de la Terre. premiers âges. Le 24 mai 1863, un dimanche, mon oncle, le professeur Lidenbrock, revint précipitamment vers sa petite maison située au numéro 19 de Königstrasse, l’une des plus anciennes rues du vieux quartier de … Nulle Chapitre 19. arme du XVIe siècle, une véritable dague, de celles que les Ce rêve, où j’avais vu renaître tout ce monde des temps Nous ressemblions à ce fantastique personnage d’Hoffmann qui a perdu son ombre. Soudain je m’arrêtai. Lignes 23 à 25 : repérez les différents verbes conjugués et donnez leur mode et leur temps. une crique que je crus reconnaître. Voyage au centre de la Terre, chapitre 43. voyage au centre de la terre texte 2 « Mon oncle, mon oncle ! gigantesques, tout un troupeau de mastodontes, non plus fossiles, Et je montrai à mon oncle un poignard couvert de rouille, que je venais de ramasser. Date de publication sur Atramenta : 10 mars 2011 à 13h29. redoutables mammifères ne s’y rencontreraient-ils pas ? Cette lame est ressemblent. — Mais elle n’est pas venue seule ! Retour à l'accueil Atramenta. Les feuilles étaient dépourvues de leur verdeur, et les Œuvre du domaine public. Notre activité de LECTURE : Jules VERNE - Voyage au centre de la Terre / CHAPITRE 39. Version HTML de 'Voyage au Centre de la Terre', Chapitre 39 de Jules Verne. Jules Verne (1864) Pays d'origine: France Textes disponibles du même auteur ici XXXIX. Notre activité de LECTURE : Jules VERNE - Voyage au centre de la Terre / CHAPITRE 39. L’horizon paraît excessivement reculé. Hetzel, 1867 (p. 80-85). Chapitre I. Quelles autres merveilles renfermait cette caverne, quels trésors pour la science ? Voyage au centre de la Terre de Jules Verne- Part 45 --> lire la suite du texte de ce livre- Part 45 Voyage au Centre de la Terre . génération enfouie dans les entrailles de la terre ! Chapitre I. Jamais ! Chapitre XVII XVI. d’un papier décoloré sous l’action de l’atmosphère. Il me semble pourtant reconnaître le promontoire au Lire en mode normal (façon ereader) IV « Il est parti ? « Allons, dit-il tout d’un coup en me saisissant le bras, en avant, en avant ! Il s'agit des aventures du professeur Lidenbrock et de son neveu. Le lendemain, mardi 30 juin, à six heures, la descente fut reprise.