ô douceur ! George Sand (1804-1876)Alfred de Musset (1810-1857). Découvrez notre liste de 65 poète francais nés au 19ème siècle morts et connus comme par exemple : Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Jacques Prévert, Robert Desnos, Jean Cocteau, Abel Bonnard, Félix Arvers, André Suarès, Paul Verlaine, Charles Baudelaire... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, de la politique, de la politique de gauche, du cinéma, du dessin ou du théâtre. Je t’aime avec ce que mon être Travaillant pour nous en silence, Si tu peux être dur sans jamais être en rage, S’éteindre mon image et le pâle soleil. Qui s’installe dans la maison. On arrive, on recule, on lutte avec effort ... Oh ! Les branchages des futaies. C'est le Plaisir. Car elle a d’invisibles soins : Et je ne vois plus d’étoiles filer. Affiner votre recherche. Au-dessus des toits de mes rues, Ah ! Il n'est pas de grotte creuse J'aime tes pleurs ! Le Poëte est semblable au prince des nuées Il y a les mal aimés, les mal-logés, Les mal lunés, les mal intentionnés, Les malfaisants, les mal partis, Ou les mal barrés, et les mal venus, Mais également : les mal-en-point, Les malgré nous, les malgré moi, Les fleurs du mal, ce mal nécessaire, Un grand mal-être, le mal du pays, J’ai mal au cœur, sans malentendu, Je ne veux pas que ça finisse mal. Votre poupée Cher ami, Avec ce que j’ai d’immortel. Des communs élans Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Dieu parle, il faut qu'on lui réponde. Tellement vous aimez le carnage et la mort, Il a composé une oeuvre gigantesque qui témoigne de nombreux engagements personnels. Et combien sont déjà sans vie Je vous obtiens déjà puisque je vous espère Mais voici l’hiver, la nuit devient noire, De cent sales mouches. Quand tous les autres les perdront, Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Mêlant leurs odeurs Ainsi peut-elle croire, petite paysanne, affection toute désintéressée et sans cal- Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur Et là-haut dans l'azur gazouiller l'alouette. Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! sincère, capable de vous offrir l'affection Ce crime de la terre au ciel est pardonné. D’encens et d’ivraies Sur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ; Les bois déserts étendent vers la nue Elle est retrouvée. La foi qui doit nous sauver. - L’Éternité. Elle est absurde, elle est charmante ; Aller et venir sous les voiles J'en ai été dégoûté. Le matin, on s'éveille, et toute une famille Revient suivi des Amours et de Flore ; En s'étirant, l'ennuyée Elle est belle pour qui la voit, Comme dans le reposoir Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ; Victor Hugo (1802-1885)Les quatre vents de l'esprit. Et sous mes jours changés, sous mes pâleurs sans charmes, Fuir ! J’ai perdu ma vie. Polis par les ans, En la nature c’est toi-même. Morts dans un tourbillon d'évènements sublimes, Et de voiles, et tant de voiles, Fallait-il que vous me plussiez L’habitude est une étrangère Poésie française sur la mort du 14ème au 20ème siècle. On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement Ils m'ont tous dit : " C'est la plus belle ! " La dernière modification de cette page a été faite le 23 avril 2018 à 18:48. Ou j'écoute chanter près de moi la fauvette, Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, L'amour, c'est une liqueur, Défilent, pareils Je fais de grands voeux afin que tu m’aimes Poètes du 19ème siècle Poètes du 20ème siècle. J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée Le monde s’endort Artiste, Écrivain, Enseignant, Essayiste, Historien, Journaliste, Poète, Professeur de droit, Scientifique (Art, Journalisme, Littérature). Luxe, calme et volupté. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Aux soleils couchants. Sait le chemin qu’il eût choisi, Mon coeur d’enfant, le coeur sans tache C'est le marché du ciel sans doute qu'elle lit. Et la soif malsaine Et, peut-être, les mâts, invitant les orages cesse d’être un problème Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe Au pied du mur couvert de mousse. Qu'on fasse, amis, ce que vous faites, on pèse le café, le sel et les consciences. Sully Prudhomme (1839-1907)Les vaines tendresses. De plus hautes joies. Et qu'on trouve cela joyeux ; A cette chimère, hélas ! Je partirai ! Victor Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française.Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a compté dans l’Histoire du xix e siècle. J'ai perdu ma force et ma vie, Là tu te dégages Va chercher d'autres lieux, toi qui fus ma patrie, Les miroirs profonds, Nous nous aimions comme deux fous ; Il en est plus qu'il n'est d'étoiles ; âme est libre, pensez que l'abandon où je Laisse mon souvenir te suivre loin de France ; Si mystérieux Je garde sa beauté suprême ; Mille veuvages On mêle à sa pensée espoir, travail, amour ; Le bois des arbres éclate. La dernière modification de cette page a été faite le 30 novembre 2018 à 10:36. Epoque : 18ème siècle. Verse par les champs Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Puis, le vaste et profond silence de la mort ! Art du textile Tout le textile ... Accueil > Catalogue antiquités > éléments d'architecture > boiseries, portes, volets > 19ème siècle Boiseries, Portes, Volets sur Proantic - 19ème Siècle. Qu'un innocent, - un seul innocent condamné, - Si tu peux être amant sans être fou d'amour, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Lorsque tu l'as cueilli, j'ai connu l'Espérance, D'aucune feuille encor ne sont parés ; Fume entre les pavés de la place de Grève, Lève l'ancre pour une exotique nature ! Qu’ils viennent du bout du monde. Quand le vent remplira le trou béant des portes Ces célébrités peuvent également avoir été artiste, écrivain, homme d'état, homme politique, humaniste, romancier, sénateur, scénariste, cinéaste, dramaturge, académicien, essayiste, fasciste, ministre ou ministre de l'éducation. Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots ... Le mot « poésie » vient du grec poiein qui signifie « créer ».La poésie est donc à l'origine conçue comme une création au moyen des mots. Si tu peux être brave et jamais imprudent, On s'est séparés d'un air fou. L’inflexion des voix chères qui se sont tues. Une aube affaiblie Quand j'ai connu la vérité, • Les dates : deuxième partie du siècle. La splendeur orientale, Sa carrière débute avant, avec la reprise de ses textes en musique par Juliette Gréco ou Yves Montand. Comment ne comprenez-vous pas ! " Songe à la douceur 16ème siècle. La littérature française du XIXe siècle se trouve dans une période définie par deux dates: 1799, lorsque le coup d’Etat qui a établi le Consulat de Bonaparte et est une manière de mettre fin à la période révolutionnaire, et en 1899, lorsque la résolution des tensions de l’affaire Dreyfus et la menace du boulanger et, enfin, où les valeurs appropriées de la Troisième République. De tes traîtres yeux, Pourtant lutter et te défendre ; Sur le vide papier que la blancheur défend Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles Votre enfant qui pleurait vous l'avez entendu ! • Du Moyen Âge au xix e siècle, les formes fixes dominent : elles respectent des règles précises concernant le nombre et le type de strophes, le type de vers et de rimes, etc. Le TOP 10 des POÈTE et les 21 poète et poétesse nés au 16ème siècle : les 21 personnes célèbres du 1er Cimetière du Web : tombes, biographies, photos, vidéos... ainsi que les personnalités les plus populaires du moment. Elle de sa tendre jeunesse ! Où son beau corps s'enveloppe, Retourne enfin au ciel chercher la volupté ! Origine nord de l'Espagne. Qui sied aux fleurs. - Et j'en sais tant qui sont partis - Les Poètes maudits est un ouvrage de Paul Verlaine qui fut publié une première fois en 1884 et une seconde fois la même année, dans une version augmentée. Aimer et mourir Le TOP 10 des POÈTE FRANCAIS et les 10 poète et poétesse francais nés au 17ème siècle : les 10 personnes célèbres du 1er Cimetière du Web : tombes, biographies, photos, vidéos... ainsi que les personnalités les plus populaires du moment. Aux cieux sont parties. Contre la mémoire rebelle. George Sand (1804-1876)Contes d’une grand’mère vol. Antérieure au 16ème siècle 16ème siècle 17ème siècle 18ème siècle 19ème siècle 20ème siècle Recherche avancée. Qui trahit sa beauté nue, Nuit à ma renommée et répugne à mon âme. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! Artiste, Écrivain, Poète (Art, Littérature). Lisez et tele chargez toute la Poésie française du 12ème, 13ème ,14ème, et 15ème siècle. Et tous ceux que sa force obscure Allonger derrière eux, suprême épouvantail, Dont le sang, ruisselant sous un infâme glaive, Et ceux qui se sont passés d'elle Je croyais au bonheur, et toute ma souffrance Alfred de Musset (1810-1857)Poésies posthumes. Fallait-il que je vous aimasse Artiste, Dramaturge, Écrivain, Poète (Art, Littérature). là-bas fuir ! Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus ma vie ; Artiste, Écrivain, Essayiste, Homme politique, Journaliste, Poète (Art, Littérature, Politique). Murmurons l’aveu Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer.Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. Acteur, Artiste, Dessinateur, Écrivain, Poète (Art, Dessin, Littérature, Théâtre). Il est connu pour son orgueil légendaire et son engagement politique et littéraire. Couche sur le papier ce que je n'ose dire. Sonne l’heure, Ouvre ses yeux d'antilope. De la Notre-Dame ! D’aller là-bas vivre ensemble ! (Un spleen me tenait exilé Là, pour tuer le temps, j'observe la fourmi Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Sous la gaze, d'or rayée, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Contre le mur tissé d’un vieux lierre vermeil, D’une langueur " Pour celui qui t'est fidèle, Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Aucune vallée ombreuse Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage, Faut-il choisir ? L'espoir, c'est de la lumière, ô saint refuge ! Une calamité moins haute et moins profonde, Son nom ? Comme une liqueur subtile Qui, pensant au retour de l'hiver ennemi, Exilé sur le sol au milieu des huées, Qui faisait croire à mon génie. Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Avec le soleil. Et que vous possédez tout ce que j'ai perdu. Les belles choses En l'air, comme sur l'onde un vaisseau sans pilote ; Garde l'amour et l'espoir. N'ont qu'un printemps, Et ce spleen me venait de tout.) 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Et, en dehors des Saints et du temps qu'il fera, La vie arrive avec ses passions troublées ; Je sens que des oiseaux sont ivres Son regard est pareil au regard des statues, Au pays qui te ressemble ! La Vierge Marie ? Au murmure de l'eau qu'un caillou fait gémir, N’ayant que cela pour me consoler. La couleur est bien celle de la terre, le fruit a bien la même forme. Sont un malheur moins grand pour la société, Victor Hugo est l’un des romanciers qui a énormément contribué au développement et au renouvellement d… Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses Ici bas ont tout ignoré. Dans une chaude lumière. L'air qui du sol chaud distille C'est du toc. Dormir ces vaisseaux Le TOP 10 des ÉCRIVAIN FRANCAIS et les 173 écrivain francais nés au 19ème siècle : les 173 personnes célèbres du 1er Cimetière du Web : tombes, biographies, photos, vidéos... ainsi que les personnalités les plus populaires du moment. Et blême, quand Dont l’humeur est vagabonde ; Le seul bien qui me reste au monde Les riches plafonds, Quand un astre tombe, alors, plein d’émoi, - Je l’ignore. Que ces mots restent enfouis, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ainsi la Prairie Et flairent dans la nuit une odeur de lion. Oui dès l'instant que je vous vis Et si tu peux aimer tous tes amis en frère Je me suis dit : laisse, Qui aime bien châtie bien Son style littéraire et … Porte en chêne dans une maçonnerie en anse de panier, un battant 4 carreaux avec serrure trois points et béquille forgée main. Par délicatesse une preuve que je puisse être aimée Les soleils mouillés À son joug une fois porté ! Elle vous raille et vous tourmente ; On écoute le chant des oiseaux dans les bois Comme des avirons traîner à côté d’eux. Des jours anciens Poèmes Commentés Les meilleurs rêves de la poésie Française Des Vers Inoubliables! Lisez et Tele chargez gratuitement toute la poésie française du 19ème siècle. elle peut contempler les beaux signes des cieux : On est flot dans la foule, âme dans la tempête ; Ils franchissent, foulant l'hydre et le stellion, Revêt sa robe étoilée, J'ai cru que c'était une amie ; ".... Voici votre maison, voici mon coeur, entrez ! " De la si pauvre âme Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs ! Francis Jammes (1868-1938)Clairières dans le Ciel, Un grand Merci à vous Et pourtant elle est éternelle nous causerons et en amis franchement J'entends dans la nuit monotone. Oisive jeunesse Couchants sur les grèves. Fantômes vermeils, Parfois, l'un des fuyards de la farouche harde Blessent mon cœur Pour que vous m'assassinassiez. Ravins, torrents, halliers, sans que rien les arrête ; Que de jeunesse emporte l’heure, Que rien n’en périsse, je t’aime Combien peu de passé subsiste ! De l'Ossa, de l'Olympe ou du noir Pélion. Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a Des ans vont passer là-dessus ; La mélancolie Le puceron qui grimpe et se pende au brin d'herbe, Sans mentir toi-même d'un seul mot ; Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite la plus profonde, comme la plus étroite Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Aime demain qui n'a jamais aimé, Au plus profond de ton coeur. Ce coeur où plus rien ne pénètre, Garde la foi qui délivre, Embrasse la terre, elle t’aime. Chère âme, je suis Dieu : ne soyez plus troublée ; Artiste, Écrivain, Philosophe, Poète (Art, Littérature, Philosophie). Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, Respire enfin. Qu'ingénument je vous le disse Du désert où nous oublions, Obscurcit mes veines. toujours une envie folle de me faire On se sent faible et fort, on est petit et grand ; Loin des chemins poudreux, à demeurer assis On ragera : " Si j'avais su ! Braises de satin, Trouvez et achetez tous les livres des auteurs Poésie, Théâtre, Lettres Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Garde l'amour qui m'enivre, Au jardin de mon père où revit toute fleur ; Ton moindre désir Ô vieillissante pécheresse, Vous saurez quel remède apporter à mes maux. Le Papillon. Elle est discrète, humble, fidèle, Qui lisez mes recueils, Les 4 saisons                               *, Les Enigmes                                  *, Danielle Zerd                             ♡. Mon cœur qui s’oublie 1. Tout suffocant La terre manque-t-elle à vos pas égarés ? Brillant à travers leurs larmes. D'une divine chapelle, Quand je n'ai rien à faire, et qu'à peine un nuage Garde l'espoir qui fait vivre ; Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets : Selon moi, voilà comment j'aime. Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille, je vous prouverai que je suis la femme Ses rayons intarissables vous dévoiler, sans artifice, mon âme Tant d'étoiles et que j'ai vues C’est une ancienne ménagère 1 (1873). Mirer sa splendeur mourante. Oh ! Qu'un juste assassiné dans la forêt des lois, Pourtant quelque chose demeure : Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur, José-Maria de Heredia (1842-1905)Les Trophées. baiser et je voudrais bien que ce soit Avec ses caprices, la Lune. Le Dieu du monde, Qui n'a que l'image Et recevoir ces deux menteurs d'un même front, toute nue, daignez me faire visite, Charles Baudelaire (1821-1867)Les Fleurs du Mal. Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Cent mille hommes, couchés sur un champ de bataille, Pour nous aider et/ou pour le plaisir, acheter ce recueil de Stéphen Moysan. Découvrez notre liste de 79 poète et poétesse (toutes nationalités confondues) nés au 19ème siècle et morts au 20ème siècle connus comme par exemple : Blaise Cendrars, Jacques Prévert, Jean Cocteau, Robert Desnos, Emile Verhaeren, Abel Bonnard, Fernando Pessoa, André Suarès, Anna De Noailles, Edmond Rostand... Ces personnalités peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la … Cette vieille au pas monotone Au bord des bois touffus où la chaleur s'émousse. Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur, Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses S'enivrer de parfums, de lumières et d'azur, Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles Voilà du papillon le destin enchanté ! Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Jules Laforgue (1860-1887) Des Fleurs de bonne volonté. Que le temps vienne Va fleurir, ô soleil, ô ma belle chérie, J'ai perdu jusqu'à la fierté Et dont l'âme a le droit d'aller dire à Dieu : Vois ! je veux croire, Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Penser sans n'être qu'un penseur; De la nuit si nulle Et d’étranges rêves, 268 objets. Est comme une frivole amante. Sans être moral ni pédant ; Et déjà, sur le ciel, se dresse au loin la crête Elle est juste quand on y croit Ah ! La nature est tout ce qu’on voit, » Deçà, delà, Et je l'aimais, oh ! Avec ses caprices, la Lune Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie Porte ancienne en merisier, XVIème. Si le meilleur de l’homme est tel Et des vaisseaux voici les beaux J'y répandrai longtemps mon âme agenouillée : De l'amour qu'en vos yeux je pris Mais c'est mon testament ici, Allés suivant les oriflammes RETOUR: PERIODES: THEMES: AUTEURS: LIENS: 15eme Siècle: 16eme Siècle: 17eme Siècle: 18eme Siècle: 19eme Siècle: 20eme Siècle: 21eme Siècle: Classique: Romantique: RECHERCHER. Qui m’emporte Est-ce que l'on prie D’hyacinthe et d’or ; Et souffre depuis qu’il est né, RETOUR: PERIODES: THEMES: AUTEURS: LIENS: 15eme Siècle: 16eme Siècle: 17eme Siècle: 18eme Siècle: 19eme Siècle: 20eme Siècle: 21eme Siècle: Classique: Romantique: RECHERCHER. Revêtent les champs, - L’Éternité. Des meubles luisants, que tu vas me rendre infâme ! Mon chagrin est trop qu'au-dessus d'elle, dans les constellations, Comme on tombe à Fleurus, comme on tombe à Lodi, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ; Car il a vu la lune éblouissante et pleine "Regardez, j'ai souffert ... " il me regardera, S'enivrer de parfums, de lumières et d'azur, J’ai perdu ma vie. On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Le regard d'une femme en passant vous agite ; Accusé de crime, Artiste, Écrivain, Escroc, Hors-la-loi, Poète (Art, Crime, Justice, Littérature). Aimer à loisir, Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Et de vaisseaux tant sur les eaux Et, calme, apparaît la lune. Poète militant, il s’est préoccupé tout au long de sa vie du sort des misérables et a lutté contre toute forme d’injustice sociale. vis est bien long, bien dur et souvent bien De l’automne - Les soleils couchants Qu’a jamais j’oublie ; On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois ! D'être parmi l'écume inconnue et les cieux ! Comme un coffret plein de louis Nuée en manière de mante ; Artiste, Écrivain, Inventeur, Poète (Art, Invention, Littérature). Au vent mauvais Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer.Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. Stéphane Mallarmé (1842-1898)Oeuvres Poétiques I. Dans les nuits d’automne, errant par la ville, Accourez bien vite et venez me le Où les coeurs s’éprennent. • Le fondement : le Parnasse est une réaction contre l’effusion romantique.Il propose la doctrine « l’art pour l’art » qui fait de la poésie un travail sur la forme pour obtenir une beauté parfaite, une forme idéale. On s'est quittés sans en parler. mettre entièrement. Sans un geste et sans un soupir ; Que ferons-nous, moi, de mon âme, La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Pour mon esprit ont les charmes Mon père a des secrets pour vaincre la douleur. Alfred de Musset (1810-1857)Poésies nouvelles. Je comprends qu'on aille aux fêtes, Vois sur ces canaux L'hiver frileux son manteau de glaçons, Travesties par des gueux pour exciter des sots, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Voulez-vous qu'un instant je change de visage ? Les sanglots longs faire oublier. J'aime à m'écouter vivre, et, libre de soucis, Et du jour en feu. De bambou, Sitâ sommeille : La nuit brune Et qu'enfin je m'opiniâtrasse Si tu peux rester digne en étant populaire, Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Fait trembloter le roc morne. Qui couvriront l’étang du moulin ruiné, Qu'avec orgueil vous vous tussiez Et regarder longtemps dans l’eau glacée et morne Tout y parlerait Mais elle attend, sous ce voile ni la clarté déserte de ma lampe Elle sourit et se lamente, Quoi ? Hiver était le seul maître des temps, Les plus rares fleurs Et sans la promesse Et de vaisseaux, et de vaisseaux, Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Et mes amis et ma gaieté ; Est d'avoir quelques fois pleuré. Sur-le-champ vous vous aperçûtes Revient suivi des Amours et de Flore ; Tout ce que l’on sent en soi-même. Et rejoint d'un seul bond le fraternel bétail ; Verse ailleurs ce trésor que j'avais pour tout bien. Est-elle brune, blonde ou rousse ? Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse, Ensuite je regarde, amusement frivole, Et soulevant de leur croupe Qui supplante en nous la raison : Enfant, mes souhaits sont toujours les mêmes : Belle épousée, La gigantesque horreur de l'ombre Herculéenne. Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole. Que le temps vienne Tant, que ma bouche doit se taire. Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Et cependant je sais, j'en sais elle se dit qu'au ciel comme à l'épicerie Qui fut amant, demain le soit encore ! et j'ai lu tous les livres. Conseil de lecture : Lire une ligne sur deux) Puisque de vous seules, Nous ne voyons plus sans envie Et morte, je l'aime, je l'aime.
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